Le club sandwich interserveurs
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 Livre troisième : Chemin de croix

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Susanoo
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MessageSujet: Livre troisième : Chemin de croix   Livre troisième : Chemin de croix I_icon_minitimeLun 7 Juin 2010 - 19:17

(HRP/ Ce RP est la suite de Journal de bord. Cependant, vous pouvez commencer la lecture ici, cela ne gène en rien la compréhension /HRP)

Les évènements de ces derniers mois se sont déroulés si vite. En à peine quelques mois, j’ai réuni un groupe d’assaut et ai attaqué le temple Iop. Dès lors, j’en ai fait mon centre d’opérations et j’ai levé une armée composée principalement de fiers guerriers Iops et de quelques autres races, partageant mes idéaux : je venais de poser les bases de « l’Empire Infini ». Ma puissance grandissante fut crainte des deux cités, qui me proposèrent tour à tour des alliances, que je refusais tour à tour. Puis, nous avons peu à peu conquis d’autres terres : mon empire s’étendait de Madrestam à Sufokia en passant par la montagne des craqueleurs et Tainéla, ainsi qu’Astrub et une parcelle des champs de Cania. Grâce aux impôts sur la marchandise et les transports prélevés, nous avons pu nous réapprovisionner en armes et autres vivres. Une rébellion fut tentée contre notre occupation à Astrub, mais elle fut vite matée, non pas par la force, mais par la ruse : j’ai fermé toutes les routes marchandes rejoignant Astrub, qui fut vite en proie à une famine terrible qui fit des centaines de morts, avant que les insurgés ne renoncent. Peu à peu mon empire grandissait, comme ma renommée et ma suprématie.

Face à moi, Bonta et Brâkmar n’eurent d’autre choix que de s’allier pour me vaincre. Cette guerre, c’est moi qui l’ai gagné. Ils avaient décidé de coordonner leurs attaques par le nord et le sud. Pendant que l’un attaquait par Cania, l’autre attaquait en Amakna. Malheureusement pour eux, j’avais également annexé un territoire intermédiaire, la montagne des koalaks. Se faisant, pendant que j’envoyais un tiers de mes troupes au nord, et un tiers au sud pour contrecarrer leurs attaques, le dernier tiers prenait le zaap pour rejoindre ce territoire et avançait en direction des deux cités. Puis, arrivé dans les landes de Sidimote, il se sépara en deux groupes, l’un se dirigea vers Bonta et l’autre vers Brâkmar. Les deux cités furent vite conquises. Les derniers miliciens s’allièrent à moi, sous la menace de voir tout ce qu’ils aimaient mourir sous leurs yeux. Les deux groupes nouvellement constitués marchèrent sur les traces des deux armées. Pendant ce temps, les mêmes armées se rapprochaient de plus en plus du temple Iop. Les conflits étaient sanglants et n’épargnaient personne. Lorsqu’ils atteignirent enfin le temple, ils entrèrent triomphants, avant que mes deux groupes armés ne les rattrapèrent, quelques heures après.

J’avais vaincu les cités, fait prisonniers les dirigeants et j’étais maintenant en pleine possession du Monde des 12. Les quelques rescapés de la guerre s’exilèrent sur les différentes îles entourant le continent. Seul Allister se levait encore contre moi. Des rumeurs couraient sur le fait qu’il était entrain de lever une armée pour s’élever contre mon joug. Pour calmer ces ardeurs, j’entrais dans des négociations visant à lui faire quitter son fameux château. Ce château était réputé imprenable. Sa réputation le précéda : les remparts étaient aussi hauts que ceux des cités, et sa situation géographique en faisait une véritable forteresse. J‘étais décidé à en faire le siège de mon empire. Au bout de quelques mois de négociations, je réussis à lui échanger son château, mais je du pour cela céder la ville de Sufokia et la quasi-totalité de la partie basse de la carte. Mon économie en prit un coup, du fait que je venais de perdre le plus gros port du Monde, perdant ainsi l’argent rapporté par le commerce maritime. Mais j’avais atteint mon objectif. Je résidais maintenant dans une forteresse, gardée par l’élite de mon armée, avec des Crâs à la précision mortelle, postés aux créneaux et aux meurtrières, des Fécas aussi résistants que des craqueleurs, à l’entrée et des Iops maîtrisant à la perfection la mort et tous ses dérivés, dans les égouts.

Toutes les conditions étaient réunies pour passer à la seconde phase de mon plan : la traque. Je pouvais désormais me livrer aux massacres de tous ces minuscules microbes, toute cette vermine Xélor, qui faisait l’objet de toutes mes souffrances, de toutes ces cicatrices ouvertes en moi et qui ne se refermeront sans doute jamais. Je recrutais donc toutes les personnes expertes en chasse, chasseurs, Osamodas. Bien sûr, tous ceux qui refusaient devenaient d’éventuels obstacles. Je ne pouvais me permettre de laisser quiconque se mettre en travers de mon chemin. Lorsque mes « traqueurs de temps» furent tous réunis, la chasse put commencer. Chaque jour, des centaines de Xélors tombaient sous les coups de mes traqueurs, au début. Puis ce ne fut plus qu’une dizaine par jour, pour finir par quelques-uns. Les misérables les plus peureux demandaient l’asile à Allister, les plus courageux se terraient dans les endroits les plus inaccessibles ou dans les donjons les plus dangereux.

Chaque fois, c’était le même scénario : lorsque mes traqueurs trouvaient un Xélor, ils lui sommaient de se rendre à ma justice divine, sous peine de mourir dans d’atroces souffrances. Bien entendu, la plupart refusait. Mes traqueurs engageaient donc le combat, un combat qui ne pouvait avoir qu’une seule issue : la capture du Xélor. Celui-ci était emmené à Brâkmar, transformée en ville de torture. Se trouvaient désormais là-bas tous les objets de tortures les plus vicieux, les plus mortels, comme les plus subtils. Si ce dernier avait des compagnons qui s’opposaient à ma justice en engageant le combat contre mes traqueurs, ils étaient vaincus par ceux-ci, puis se voyaient offrir deux choix : la rédemption ou l’absolution. L’absolution équivalait à la mort, alors que la rédemption les voyait être amenés devant moi pour demander pardon, puis enrôlés dans mon armée. Lorsque mes pulsions devenaient trop meurtrières, j’allais moi-même à la chasse, pour me défouler sur toutes ces abominations qui m’ont tant fait souffrir par le passé.

« Ce matin, la chasse a été bonne, j’ai capturé 3 Xélors, et mes traqueurs sont revenus avec 5 d’entre eux. Dites-moi vénéré Iop, avez-vous une préférence ? Les petits vous comblent-ils plus que les femelles ? Ou bien préférez-vous les mâles ? Car quels qu’ils soient, ce sont tous des animaux, des animaux qui méritent d’être égorgés, qui mériteraient de mourir 100 fois ! Aujourd’hui, je vous offre la tête du plus valeureux. C’est celui-là qui m’a donné le plus de mal. Le misérable savait se battre. Se battre comme un animal. Aucun ne maîtrise réellement le temps. Ce sont tous des hérétiques. Comment peuvent-ils prétendre contrôler notre passé, notre présent ou notre futur ? Personne ne devrait. Ce pouvoir ne devrait appartenir qu’aux dieux. »
Un homme entra dans la salle :
« Commandant Izanagi au rapport. Selon nos informateurs, le nombre de Xélors ne cesse de croître. Ils sont passés d’une poignée à une centaine en quelques jours. J’attends vos ordres monseigneur.
- Vous pouvez disposer Izanagi.
- Bien monseigneur. Je suis à vos ordres monseigneur. »
L’homme nommé Izanagi, s’exécuta et s’éclipsa dans le plus grand silence. Izanagi était le chef de la branche des renseignements. Il était chargé d’espionner l’ennemi, d’évaluer les forces en présence et de me faire un rapport chaque semaine. Je repris donc ma prière :
« Cela fait bientôt un an que je tourne en rond. Plus j’en tue, plus il en apparaît. Guidez-moi, montrez moi la voie ! Je ne peux pas rester là, à tous les tuer au fur et à mesure. Je finirais par mourir, et ils gagneraient la guerre… A moins que… si je tue leurs croyances, il n’y aura plus aucun Xélor, mais…pour cela, il faudrait que je tue Xélor lui-même. Je n’ai pas d’autre choix. Izanami ! »
Un Sram sortit de l’ombre :
« Oui, monseigneur ?
- Rends-toi à Brâkmar et ramènes-moi tous les Xélors encore en vie, je dois me rendre au temple Xélor.
- Bien monseigneur. Je suis à vos ordres monseigneur. »
Et le Sram disparut, sans laisser de traces. Izanami était le chef de la branche de torture. C’est lui qui était en charge de soutirer la position d’autres Xélors aux captifs, de trouver des failles dans leurs sorts… Pour rejoindre Xélor, je devais impérativement lui faire une offrande : l’essence du temps. D’après les rumeurs, la seule façon d’obtenir de l’essence de temps était de tuer des Xélors, en les attachant à une machine située sous le temple Xélor. La machine, alimentée par une énergie mystique, privait le Xélor de son emprise sur le temps en la transformant par un procédé mystérieux en un liquide bleu, brillant de milles feux. Il me fallait donc creuser sous le temple Xélor, afin de trouver cette machine. Je convoquais donc tous les Osamodas disponibles au temple. Aidé de plusieurs craqueleurs, le sol du temple ne résisterait pas longtemps.

L’excavation ne dura que quelques jours. La machine se trouvait dans une salle dont les murs et le sol étaient creusés par des fissures. Un langage ancien criblait les murs de mots. La machine était immense : elle était constituée d’un pied central, au cœur duquel se trouvait une grande salle, creusée dans le pied. Non loin de l’entrée de cette salle se trouvait un levier. En haut de ce pied, plusieurs engrenages guidaient une sorte de tuyau, tombant dans une bassine. Selon les anciens écrits qui se trouvaient sur les murs, l’activation de la machine ne pouvait se faire qu’en plaçant un ou plusieurs Xélors dans la salle au cœur du pied, puis en abaissant le levier. L’essence du temps coulerait alors le long du tuyau et atterrirait dans la bassine. Pour rejoindre Xélor, il fallait sacrifier 1000 Xélors. Suivant les instructions, je plaçais les Xélors enchaînés à l’intérieur de la machine puis j’abaissai le levier. Une grille tomba, fermant l’accès à la salle. On pouvait malgré tout voir ce qui se produisait à l’intérieur : au plafond, un trou s’ouvrit, duquel un faisceau de lumière s’abattit sur les Xélors qui hurlèrent alors de toute leur chair. Tant de souffrances, ce spectacle m’était des plus agréables. Comme écrit, le liquide s’écoula dans le tuyau, goutte à goutte. Le processus fut terminé au bout d’une journée. Je pris donc la bassine remplie, et la versait dans les fissures. L’essence s’écoula alors, remplissant toutes les fissures, illuminant toute la salle. Puis, toutes les fissures se rejoignirent en un endroit précis, d’où un portail apparut.

J’empruntai donc le portail et me retrouva alors sur un îlot de terre désolé, flottant dans le vide. Ce vide était comblé par plusieurs autres îlots semblables au mien, dérivant. Je fus sorti de ma contemplation par une voix froide. C’était Xélor, assis sur son trône, son sceptre à la main :
« Ainsi te voilà.
- Vous vous attendiez à me voir ?
- Bien sûr. Mon énergie vitale diminue à chaque fois que l’un de mes disciples est tué, et ces derniers temps, j’ai été bien affaibli, vois-tu. Et un fléau ne reste pas inconnu bien longtemps. De plus, je suis un dieu, ne l’oublies pas.
- Dieu ou pas, je vais …
- Me tuer ? Si tu crois réellement pouvoir me vaincre, alors tu te berces d’illusions, petit. Cependant, je sens la noirceur de ton cœur. Il est rempli de haine, il faut évacuer toute cette rancœur.
- Et c’est moi que vous traitez de petit. Cette haine, elle provient de toutes les souffrances que j’ai du enduré par votre faute !
- Le cours du temps ne s’inverse pas, petit, on ne peut pas réécrire l’Histoire, seulement la modifier par endroits. Tu dis être à la hauteur d’un dieu ? Nous ne pourrons en juger que lorsque ton cœur sera pur.
- Je me fiche d’avoir le cœur pur ! Je veux votre mort ! Votre mort à tous !
- Dit le pauvre mortel caressant l’illusion de vaincre un dieu. Il y a une distinction à faire entre « vouloir » et « pouvoir », petit. Tu sais, à force de vivre dans un monde illusoire, le temps perd sa valeur, il se rompt. A force de courir après des désirs fous, on ne fait plus attention au temps qui passe et passe … »
A ces mots, l’emprise du temps sur moi devint pesante, je pris une, puis 2, puis 10, puis 20 ans. Je vieillissais à vue d’œil, alors que Xélor ne prenait pas une ride.
« Tu penses toujours pouvoir me vaincre ?
- J’ai eu une vision, dis-je d’une voix faiblarde, vieille. Dans cette vision, tous les Xélors étaient morts, le Monde connaissait enfin la paix, sous ma domination. Tout le monde était heureux, les enfants gambadaient dans les champs, les parents riaient, les combattants se défiaient dans un esprit de franche camaraderie. C’est pour faire de cette vision une réalité que je suis ici. Même si l’on n’a qu’une mince chance de réaliser un rêve, il faut la tenter quoiqu’il en coûte. C’est ce que je pense.
- Tu brasses beaucoup d’air, mais tes actes ne suivent pas tes paroles. Si tu penses avoir une chance de me vaincre alors dans ce cas montres-moi de quoi tu es capable. »
Sur ces paroles, il leva son sceptre et je revins à mon âge normal. Je me jetai donc sur lui, épée au poing. Malgré ma vitesse, il réussit à esquiver mon coup. Je réitérai donc mon attaques des centaines de fois mais aucunes ne le toucha. Désespéré et vidé de mes forces, je me résignai à ne lancer que des sorts. J’enchaînais les tempêtes de puissance, sans succès. A bout de force, je m’écroulai, impuissant :
« Tu es fort, petit, c’est indéniable, mais vois-tu, quelque soit ta force, aucun mortel ne peut venir à bout d’un dieu. Ce n’est pas pour rien que … »
Xélor tomba à terre :
« Argh … c’est encore une de tes tempêtes ?
- Le serpent se berçait de l’illusion de pouvoir voler haut dans le ciel, tel l’oiseau qui le chasse. Il se jeta du haut d’une falaise, avant de s’écraser au sol, des centaines de mètres plus bas. L’oiseau se jeta sur sa proie à terre, sans se rendre compte que de prédateur, il était devenu la proie du serpent qui rampait tout en bas.
- Ainsi donc tu es le serpent et moi l’oiseau ? Tu reconnais donc que ton rêve n’est qu’une illusion, que tu ne pourras jamais voler aussi haut que moi. »
Xélor se releva, sans la moindre égratignure :
« Tu sais que tu ne peux pas me tuer, n’est-ce pas ?
- J’aurais essayé.
- Ton cœur… Toute cette haine se serait-elle évanouie ?
- En me battant contre vous, j’ai réalisé que si j’en suis là, c’est qu’il y a une raison. « Le cours du temps ne s’inverse pas, on ne peut pas réécrire l’Histoire, seulement la modifier par endroits » m’avez-vous dit plus tôt. Si l’Histoire veut que j’en sois arrivé là, c’est surement qu’il le fallait. Si mon destin était de perdre face à vous, alors je ne peux pas m’y opposer. Je me rends compte désormais de toutes mes erreurs. Le temps ne peut pas être inversé n’est-ce pas ? Alors dans ce cas, je dois profiter du temps qu’il me reste pour réparer mes erreurs. Je me rends désormais compte que toutes les peines dont j’ai souffert, je les ai fait vivre aux autres. Personne ne devrait vivre ce que j’ai vécu. J’ai envie de laisser mon empreinte dans l’Histoire mais je n’ai pas envie que quiconque ait à souffrir pour cela.
- Tu sais quoi ? J’ai envie de donner une fin heureuse à ton histoire. Le serpent va muer, pour pouvoir voler à son tour. Tu vas devenir un dieu mineur, tu n’auras pas d’adeptes, mais ton existence consolera le reste du Monde et le confortera dans l’idée que rien n’est impossible. Tu seras le dieu des tempêtes, l’homme qui se berçait de l’illusion de pouvoir un jour voler aussi haut que les dieux. Comment te nommes-tu ?
- A vrai dire, je n’ai pas de nom, mes amis me nomment Crossbones à cause de cette croix que je porte autour du cou. Mais désormais, j’ai envie de prendre un nouveau départ. Cette croix, c’est le symbole de ma déchéance, c’est par cette peine que tout a commencé.
- Bien, dans ce cas, tu seras Susanoo. Au revoir, petit serpent. »

Lorsque je me réveillai, toute mon armée était rassemblée autour de moi. Izanagi me demanda alors :
« Vous l’avez eu ?
- Non. Izanagi, proclames la dissolution de l’Empire Infini. Je pars en quête de rédemption ».
Je me levai et parti donc sillonner le monde. Mon empire fut dissout, les territoires conquis furent restitués aux cités, les hommes furent restitués à leur liberté et tout rentra dans l’ordre.

(HRP/ Donnez moi vos impressions Very Happy HRP)
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MessageSujet: Re: Livre troisième : Chemin de croix   Livre troisième : Chemin de croix I_icon_minitimeMar 8 Juin 2010 - 19:28

[J'ai mal au yeux ; a force de lire ^^ . J'ai bien aimé ton texte, la prise des deux cités.... Dommage pour la fin, ça coupe un peu tout, le grand Susanoo maitrisait tout, mais un jour, son empire fut dissous.
Sinon j'ai pris plaisir à lire ces lignes.]
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MessageSujet: Re: Livre troisième : Chemin de croix   Livre troisième : Chemin de croix I_icon_minitimeMar 8 Juin 2010 - 19:39

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MessageSujet: Re: Livre troisième : Chemin de croix   Livre troisième : Chemin de croix I_icon_minitime

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