U[ser(HRP : Comme le dit le titre, chers amis, vous aurez une chance dans ce jeu de remporter 1 code audio fournit par le club, il vous suffit simplement de lire avec attention toutes les histoires qui vont suivre !!! Juste en dessous ce HRP, il y aura 23 histoires, une par jour, et le jour de Nowel trouvez la phrase cachée et remporter votre petite cadeau ! Oui, une phrase est dissimulée derrière ces textes, trouvez là !!! Et feu vert le jour de Nowel !)
Le Misérable
"
Je déteste Nowel !"
Un bruit sourd retentit
"Oui, on a compris, pas besoin d'écraser ta chopine sur la table ! Allez, je t'en ressers une autre"
Ce spectacle faisait peine à voir. Un Enutrof était accoudé au comptoir ... ou plutôt affalé sur le comptoir, une chopines pleine à la main, tandis que le tavernier, qui semblait bien profiter du désespoir de notre vieil homme, lui servait ses bières.
"Le Père Nowel, c'est une ordure ! C'est moi qui vous le dit ! Chaque année, j'essaie de survivre pendant 11 mois, ne vivant que grâce à ma MINABLE capacité à bucher ! Quand venait Descendre, et ce cher Hector Nowel, je m'empressais de rejoindre son île, de regrouper le plus de cadeaux possibles pour mon épouse, et là, j'apprends quoi ? Que le STUPIDE bateau de ce STUPIDE enutrof est endommagé ... Tu sais ? A sa place je ..."
L'entrof s'endormit, le tavernier soupira enfin. Il s'approcha du pauvre homme et lui fit les poches ... Même pas de quoi rembourser toutes ses bières ! Il prit l'homme dans ses bras, puis le jeta en dehors de sa taverne.
Il roupillait tranquillement, dans la nuit sombre
Au même endroit, un enfant venait de débarquer. Derrière lui, 2 hommes le poursuivaient, hurlant des choses assez floues. L'enfant courut du plus vite qu'il pût, et trébucha sur l'Enutrof ...
Nowel est une période vraiment très spéciale.
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La suite"
Oups, cria l'enfant en tombant"
L'enutrof, lui, n'avait pas bougé d'un pouce. En revanche, les poursuivants, eux, avaient bien avancé et se retrouvaient juste devant l'enfant. Seul un corps inerte les séparait. Le garçon tenait fermement quelque chose entre ses bras.
"Allez ! Donne-le nous ! On ne te fera rien ! dit l'un des 2 hommes, un Ecaflip, qui avait une brindille à la bouche.
-Nomekop, on devrait pas traîner ici ! Si on se fait choper par des miliciens, on va passer un sale quart d'heure, ils sont coriaces, les bougres !
-La ferme Eratz ! Le Bilby que ce gamin, il me le faut ! Ca vaut un paquetde th...
-Mmhhh ... S'passe quoi ici ?"
Vu tout l'alcool que ce vieux dégénéré avait ingurgité, il aurait dû dormir jusqu'à l'aube ... Pourtant, il semblait s'être réveillé !
"Qui c'est qui m'empêche de dormir ici ? C'est toi, hein ?"
L'Ecaflip se mit à rire. Le jeune garçon, lui, profita de la situation pour s'enfuir ...
"Euh, mec ! Le mioche, il est en train de partir avec ton "paquet de thon", là !
-De "thune", cervelle de Iop ! dit l'Ecaflip en affutant son épée avec ses griffes. On laisse tomber le familier ... Ca fait longtemps que j'ai pas cassé du vieux.
- C'est à moi que tu parles ?
L'enutrof ne trompait personne : Il était totalement inapte au combat. Cependant, il parvint à rassembler ses forces et jeta sa pelle fétiche sur le Iop. Ce dernier fut surpris, mais parvint tout de même à bloquer la pelle, par réflexe, avec son épée (Il faut dire que les Enutrofs n'ont pas beaucoup de force ... alors imaginez quand ils sont saouls). Sans qu'il s'en rende compte, il fit tomber un objet à ses pieds, qui roula jusque
sous la table, à l'entrée de l'auberge.
"Toi ! Tu m'as cherché ! Hurla le Iop"
Au moment où il alla réduire en miettes l'Enutrof, Nomekop le stoppa, puis fit un signe de tête derrière lui : Une quinzaine de miliciens étaient à leurs trousses. Sans dire un mot, les deux bandits s'enfuirent, poursuivis par les braves miliciens.
L'enutrof se retrouvait seul ... "Autant retourner à la taverne", ce fut la première idée qui lui traversa l'esprit. En allant jusqu'à la porte, il vit briller l'objet que le Iop avait fait tomber. Intrigué, il s'en approcha et le ramassa ... C'était un Dofus Emeraude
"Pff, le Père Nowel veut se faire pardonner !"
Il ramassa le Dofus, et rentra chez lui, paisiblement.
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Yaaouuuh ! A moi le pactole !"
Ca, c'est un cri qui vient du coeur, et ce cri venait d'un disciple d'Ecaflip, qui avait fait preuve d'un sang-froid immesurable en trompant tous ses adversaires un par, un, avec une analyse parfaite de la situation ... Pour ceux qui n'auraient pas compris, il venait de gagner sa partie de Poker, chez un ami, disciple de la déesse Pandawa. La mise était de taille.
Après avoir fêté ça, traditions de Pandala obligent, l'Ecaflip s'en alla, la tête dans les nuages, pensant déjà à ce qu'il allait s'acheter avec son gain. Seulement, à trop regarder en l'air, la tête finit souvent par atterrir dans les pieds ... et c'est ce qu'il se passa, avec en prime une petite baignade dans une source !
"Raaaah ! Maintenant je vais sentir le chat mouillé ! C'est malin ..."
Il remonta la source, non sans difficulté. Quelque chose avait changé, mais il n'arrivait pas à déterminer quoi ... Il regarda son reflet dans l'eau, et il vit qu'une feuille de babou était posée sur son groin. Il secoua la tê ...
"Un groin ? Aaaaaaaah !!!!!!"
Les sources magiques de Pandala ... C'est donc la qu'il avait atterri. Il faut avouer qu'un chat tout maigrichon qui se transforme en un dodu marcassin, c'est assez risible ... Sauf pour lui.
Il courait dans tous les sens, et n'arrêtait pas de crier :"C'est un cauchemar ! C'est un cauchemar ! Je vais me réveiller."
Les Pandikazes lui riaient au nez ... Car les abrutis qui ne conaissent pas l'existence de ces sources, ça ne court pas les rues. En revanche, les Firefoux eux, rigolaient un peu moins : Les Lenalds, ça n'aime pas trop les sangliers.
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En courant de partout, on s'attire bien vite des ennuis. Une Iopette venait de s'échapper de la prison des Pandikazes, et elle n'avait plus rien mangé depuis 2 jours. Alors imaginez-vous bien sa réaction lorsqu'elle vit un beau marcassin plein de viande fraiche se présenter à ses yeux ! Elle se stoppa net, et fixa l'animal. Notre pauvre Ecaflip comprit bien vite la situation. Il tenta de parlementer ... erreur fatale lorsqu'on est face à un Iop qui a perdu le peu de raison qui lui restait.
"Euh ... Vous savez, c'est un énooorme malentendu ! Je ne suis pas celui que vous croyez.
-Je ... veux ... manger la ... bouboule !
-Mais je ne sais pas si je suis un marcassin !! Enfin, si, techniquement j'en suis un mais ... Oh et puis zut !"
Il prit ses "pattes" à son coup. Bizarrement, la Iopette n'était pas choquée qu'un marcassin lui parle. Bien décidée à se mettre quelque chose sous la dent, elle poursuivit la bête.
Commença alors un véritable parcours du combattant pour l'Ecaflip : Il faisait tout pour ralentir la course de la disciple de Iop : Il sautait par dessus les troncs allongés sur le sol (que la Iopette n'avait aucun mal à enjamber), passait au milieu des groupes de monstres pour ralentir son parcours. Rien ne pouvait les arrêter. Malheureusement pour le marcassin, la Iopette gagnait du terrain, et il se trouva bien vite acculé contre un bambou.
"Je te tiens ... enfin ... saleté de bête ! Viens ici, tu ne vas rien sentir !!
-Je vous en prie !! Je veux vivre !"
Le marcassin tenta de s'échapper, mais la Iopette lui donna un coup de pied, qui assomma notre pauvre bête ... Et là, le miracle se produisit (Même si c'est un phénomène tout à fait rationnel, dû aux effets de l'envoûtement). La marcassin reprit sa forme originelle.
En voyant un Ecaflip à la place de son repas du soir, la Iopette se gratta la tête, intrigué, puis repartit, déçue. Notre Ecaflip, lui, croiera sûrement à un rêve.
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Une fois de plus, personne ... Il fallait se faire à l'évidence : Hector Nowel ne viendra pas, cette année. Certains continuent d'y croire ... Ils continuent d'espérer la venue de cet homme qui a donné chaque année de la joie à tous les habitants du monde des douze.
Ce disciple de la déesse Féca, qui traîne sur le quai, est l'un d'eux. Chaque matin, il se lève à l'aube pour espérer la venue de notre cher Hector, chaque matin, il repart encore plus dépité que jamais.
Ce matin-là, notre homme, comme à son habitude, venait jusqu'au quai, avec son Bouftou de compagnie. Il vit alors une silhouette, rouge et blanche ... Ce n'était pas possible ! Ca ne pouvait être lui ! Il se frotta les yeux, et il vit bel et bien quelqu'un en costume de père Nowel !
Il accourut, pris d'un sentiment de joie ! Il s'imaginait déjà annoncer la nouvelle à tous ses amis, terrasser le Sapik, puis le père Nowel pour lui arracher ses cadeaux ...
"Sales gosses !"
Ce n'était pas Hector Nowel, mais un simple épouventail avec le costume du père Nowel. Sur l'épouventail, une note était accrochée : "Papa Nowel, on veut que tu reviens !!"
Et le Féca repartit, encore plus déçu que jamais. Personne n'ira sur l'île de Nowel, cette année et personne ne pourra s'emparer des cadeaux du Minotoboule de Nowel.
Sur le chemin du retour, l'Homme longeait le bord de mer, perdu dans ses pensées ... Soudain, son bouftou grogna : Quelque chose flottait dans l'eau. Le Feca, intrigué, s'en approcha et fixa l'objet de plus près : C'était un cadeau de Nowel !!
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Xelor prend souvent un malin plaisir à jouer avec les sentiments des gens. Bien sûr, il ne faisait pas revenir les morts, c'est trop cruel et ça risquerit de lui causer des soucis avec les autres Dieux. En revanche, il aime bien déplacer des objets dans le temps, et ce cadeau est une preuve du passe-temps du dieu Xelor. Bien sûr, personne n'est au courant, sinon ça ne serait pas marrant.
Cela faisait 2 jours que notre Feca avait découvert le cadeau, et bien d'autres étaient apparus dans tout le monde des Douze. La nouvelle avait circulé très vite et tout le monde partait à la recherche d'Hector Nowel : Les grands navigateurs cherchaient son bateau sur les flots, les aventuriers le recherchaient sur les côtes de Cania, craignant qu'il ne se soit échoué, tandis que les plus ivres de tous le chercher au lac d'Astrub.
L'espoir fait vivre, et le monde des Douze, qui n'était plus que l'ombre de lui même en ce mois de Descendre, s'était mis à revivre : On trouvait des cadeaux de partout. Cela devenait presque une chasse au trésor.
Personne ne trouvera jamais Hector Nowel cette année, ça c'est sûr, mais l'esprit de Nowel, lui, a bel et bien été retrouvé, et c'est ça qui compte.
Et après, il y en a qui disent que les Dieux sont cruels ...
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"-
NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON", criait-il cette nuit dans son lit. Une fois de plus, il revait... Je le consolais, comme tout les soirs, le prenait dans mes bras, l'embraissais, et le recouvrais de la couette en laine de boufton noir...
"- Rendors-toi, Louis... Rendors-toi... Ce n'est qu'un cauchemar..." Il se rendormait, j'entendais déja sa respiration revenir a la normale, je sentais ses muscles se relacher... Il dormait... mais il pleurait... Je me detendais, et fermais les yeux...
Le lendemain, personne à mes cotés. Ni à droite, ni à gauche... Il n'avait pas cette habitude. Généralement, il m'attendait, il me calinait, il prenait soin de moi... Que se passait-il....? Quel moskito l'avait piqué ?
Je me levais alors, doucement, prenant bien soin de ne pas faire de bruit. J'allais doucement dans la cuisine où, logiquement, il devrait être...
Il n'y était pas... Je commençais a m'inquieter. Je l'avais vu, pleurant durant la nuit. Je ne comprenais toujours pas ce qui s'était passé...
Je décidais d'en savoir plus. Ni une ni deux, je me dirigeais vers le placard décidant de m'habiller décemment pour allez voir a Astrub ce qui se passait. J'ouvrais le placard. Et quelle ne fut pas ma surprise, ne voyant plus mes affaires... Une erreur? Une surprise? Une envie de rupture? Je courais dans l'appartement... Ne comprenais rien... J'étais perdue... C'est en descendant dans le salon que je compris... Il était la, devant un corps inanimé... J'accourais, m'arretant devant ce corps, le mien.
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"-
Oh oh oh! Vous voila mes enfants !! Avez-vous été sages cette ...", s'exclamait le pere nowel en ce jour saint. Interrompu par un des lutins de l'assemblée :
"- Non, non, non ! Ça ne va pas ! On la refait ! Met-y plus le ton ! Soit plus naturel... Là ça se voit que tu le joue trop !
- Mais... J'en ai marre moi de nowel ! Toujours pareil !! Toujours des cadeaux... Toujours a récompenser des aventuriers, qui, tout les ans, massacrent encore plus de créatures, qui, tout les ans, se massacrent entre frères, tout ça pour combattre, une "cité"... Tsss... Une cité... C'est comme si on se batait, nous, contre les non-habitants de l'ile de nowel... Faut pas pousser.... C'est plus l'esprit de nowel. J'en ai marre on reporte !
- Ah que non, non, non ! On repousse pas ce jour sacré. Imagine juste qu'on le fasse... Les déceptions en chaine, les jeunes enfants tristes, les parents pareils, les guerriers non récompensés... Non il ne faut pas !
- Mais... Nowel c'etait... La gentillesse, les repas en famille... Pas besoin de cadeaux pour passer un bon nowel ! Pas besoin de toute cette mise en scène débile !
- [...]
- Ou sinon je sais ! Trouvez moi un cadeau, pour moi !
- Un cadeau ? Pour toi ? Tu n'en a pas besoin... Tu es le père nowel...
- Ah vous marchez comme ça vous ? "JE" n'en ai pas besoin ? Parceque JE suis le pere nowel ? D'accord... Pas de nowel cette année.
- Si si si pardon..." Le lutin court chercher dans son coffre et lui rapporte un tofu en plastique. Lui tends...
"- Hm...? [...]"
Le lutin appuyant dessus et faisant un grand sourire :
"- Squik, Squiiik ! Regarde comme c'est drôle ! Allez voila ton cadeau ! Ca te plait ?
"- Non"
Le lutin lui présenta d'autres objet tout aussi loufoque jusqu'au lui tendre un cadeau, emballé....
"- Tiens... Ouvre-le. C'est pour toi. J'espère qu'il te plaira cette fois..."
Le pere nowel, ouvrant le cadeau :
"-Mwarf... J'espere aussi...". Il découvrait en même temps un simple mot :
Citation:
Pere nowel, nous qui t'adulons, nous qui,
te demandons, en ce jour, en ce temps,
Que tu accepte, pour cadeau, pour présent,
Notre amitié, notre dévouement,
Que par ce mot, tu nous chérisses,
Que par cette lettre tu nous adresses,
Tes meilleurs voeux, ton souffle, juste un vent
De ta bouche, un simple Merci.
Le pere nowel les regardait, bouche bée... et d'un ton majestueux :
"- Oh oh oh! Vous voila mes enfants ! Avez-vous été sages cette année ?"
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Wabbit un jouw, Wabbit toujouws. Telle est la philosophie des Wabbits. Comme tout le monde le sait, l'île des Wabbits est dirigée par un monarque tyrannique : Le Wa. Ceux que peu de gens savent, c'est pourquoi qualifie-t-on le monarque de tyrannique. En voici donc une des raisons :
Le roi, assisté de son plus fidèle conseiller, siégeait sur son trône. Devant lui se tenait un wabbit, en pleurs.
"Paw pitié mon bon Wa ! Je mouwwais de faim ! Je n'ai pas pû wésitew devant cette gwandiose Cawotte !
-Silence, sous-fifwe ! Tu as osé pénétwew dans ma wésewve de Cawottes et tu sewas chatié !
-Non ! S'il vous plaît ! Je ne veux pas finiw au pawadis des cawottes comme mon fwèwe
-Mmh, je ne te tuewai pas, caw Nowel appwoche, et je n'ai pas envie de contwawiew ce chew Pèwe Nowel ! En wevanche, tu es banni de notwe île, et ce, à jamais ...
-Mewci de me laisse vivwe, votwe Excellence. Vous westewez le meilleuw souvewain que cette île aie connue, à mes yeux."
Le conseiller chuchota alors quelque chose à l'oreille du Wa ! Celui-ci paraissait ravi.
"Mais c'est une excellente idée ! Pouwquoi ne l'ai-je pas eue !
- Comment ça ? Que comptez-vous me faiwe ?
- Hé bien, pouw pimentew les choses, tu devwas quittew notwe île en étant déguisé.
- Si ça peut vous faiwe plaisiw, je le fewai ! Et en quoi dois-je me déguisew ?
- En cawotte !!
Cette journée à l'île des Wabbits promet d'être très intéwessante ... euh, intéressante !
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En entendant cela, le sang de notre pauvre petit Wabbit ne fit qu'un tour
"En ... en ... en Cawotte ?
-Oui, c'est ce que j'ai dit ! Tu quittewas notwe île en tant que Cawotte, si bien sûw tu awwives à la quittew ! Allez, enfile ce costume et quitte notwe île ! Et si j'appwends que tu as wetiwé le costume, je te tuewai de mes pwopwes mains ... ou plutôt de mon pwopwe sceptwe."
Le Wa lança un costume de Cawotte sur le Wabbit, qui l'attrapa et l'enfila. Il avait l'air très appétissant, du point de vue d'un Wabbit en tout cas ! Le Wa s'adressa alors à son conseiller.
"Dites moi mon bwave. Vous n'avez pas faim tout d'un coup ?
-Si, votwe Majesté, je mangewai bien une Cawotte, lui répondit son conseiller en fixant le Wabbit banni"
Ce dernier ne se fit pas attendre et prit ses pattes à son cou. Dès l'instant où il sortit du château, il se sentit observé. La panique commençait à se faire sentir, des dizaines de Wabbit l'encerclaient. Il y avait de tout : Des Blac Wabbit, des Grands Pa Wabbit, des Wo ...
"Doucement ... Je ne suis pas une vwai Cawotte, je suis un des votw... Aïeeeeeee ! Mon postéwieuw !"
Un Tiwabbit Kiaffin venait en effet de mordre le derrière de cette Cawotte. Notre pauvre Wabbit comprit que cela ne servait à rien, et il "pwit la fuite comme un vulgaiwe Lenald twaqué", comme disent les Wabbits. Il avait beau connaître le chemin pour quitter l'île par coeur, celui-ci était tout de même long, et il devait donc user de ruse pour échapper à ses anciens camarades : Il sautait par dessus les Tiwabbit, esquivait les Wo qui ne pouvait pas le sivre bien loin, tirait sur le barbe des Grands Pa Wabbit, et balançait des Cawottes pour appâter les simples Wabbits...
"Plus que quelques mètwes, j'y suis pwesque ! Je vais enfin êtwe débawassé de ce tewwible fawdeau et êtwe libwe de ce satané tywan de malheur ! Allez, allez ... j'y suiiiiiis !"
Il avait accompli sa tâche. Les autres Wabbits le regardaient, dépités. Aucun d'entre eux n'osaient sortir une patte de leur territoire.
Le Wabbit s'écroula sur le sol. Il tenta de ramper jusqu'au bord de mer, et se retrouva nez à nez avec un très jeune disciple de la déesse Sacrieur. Le Wabbit regardait l'enfant, avec toute la misère du monde sur ses épaules. L'enfant, lui, regardait le Wabbit en souriant. Une nouvelle amitié venait certainement de naît ...
"BOOM ! dit l'enfant en donnant un coup de pied au Wabbit et en l'achevant. TATA LILY !! VIENS VOIR CE QUE J'AI TUE !!"
Finalement, on est parfois mieux chez soi, dans son tewwiew, que chez les autres ...
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L'heure est grave, soldats ! D'
après nos espions, l'armée Brakmarienne s'apprête à dominer le campement établi par nos compatriotes à Amakna ! Si nous ne ripostons pas ..."
"Les Bontariens vont dominer
tout le monde des Douze, et nous ne pourront jamais laisser faire ça. Nous devons nous battre pour préserver la fierté de la glorieuse cité de Brakmar ..."
"Nous ne leur laisserons pas faire ! Nous contre-attaquerons ! Tout mètre parcourut par l'ennemi sera considéré comme une défaite ! Nous devons les empêcher de progresser, ainsi, nous ..."
"Vaincrons ! Tous ensembles, soldats !!"
Dans les 2 camps adverses, des cris de joie retentirent. "L'heure est grave" à Amakna, comme l'a dit Amayiro, et il semblerait qu'aucune des deux armée ne prenne de congés durant les périodes de fêtes.
"EN AVANT !"
Voici les ordres donnés par deux généraux. L'une Brakmarienne, l'autre Bontarien. 2 frères et soeurs, qui dès leurs plus tendre enfance ont adoré voir les affrontements mortels entre les guerriers de chacune des deux cités.
Ainsi, chacune des deux armées progressa jusqu'au village d'Amakna. Le voyage dura plusieurs jours. L'affrontement qui cloturerait ce voyage est si important, qu'exceptionnellement, l'on traitait les troupes comme des rois : On s'assurait que personne ne manque de vivres et tout blessé était immédiatement assisté d'au moins 3 disciples d'Eniripsa. Les troupes semblaient presque avoir oublié qu'on les envoyait droit à la boucherie.
Le voyage s'était effectué sans encombre, les 2 armées se retrouvaient face à face : Les Brakmariens étaient surpris de voir autant de soldats face à eux, puisqu'ils s'attendaient à un effet de surprise, les Bontariens étaient surpris de voir autant d'hommes mobilisés pour une simple prise de territoire, et les villageois très surpris de voir une guerre se déclencher juste sous leurs yeux.
"Soldats !! A L'ATTAAAAAAA...."
BOOM ! Une explosion retentit.